L’aide publique accordée aux partis politiques bénéficiaires, habituellement allouée entre février et mai, a été distribuée en fin de la campagne de premier tour. Cette allocation tardive a de facto désavantagé les candidats ne disposant pas de ressources financières conséquentes et créé une distorsion dans les moyens dont disposent les différents partis et coalitions pour leur planification de campagne.